Un astre de tendresse
« Telle est la tendresse du cœur de notre Dieu ; grâce à elle, du haut des cieux, un astre est venu nous visiter. » (Lc 1,78)
Nous voici presque arrivés à la fin de notre merveilleux chapitre et la conclusion se résume en ces quelques mots : la « tendresse du cœur de notre Dieu » et Jésus est cet « astre venu nous visiter ». Quelle vision incroyable et tellement nouvelle au cœur de toutes les religions du monde ! Ce Dieu est bien sûr tout puissant, mais sa puissance se révèle par la tendresse infinie de son cœur. Et cela va bouleverser pour toujours bien des manières de concevoir comment se rapporter à Dieu d’un côté, mais aussi comment se rapporter entre nous les hommes.
Si nous voulons faire de notre vie un chef-d’œuvre à la suite du Christ, nous n’avons au fond qu’à faire une seule chose du matin au soir : laisser Dieu remplir notre cœur de sa tendresse et déverser cette tendresse sur tous les hommes. Cela semble tellement ingénu et utopique et c’est pourtant la plus grande révolution que le monde puisse goûter. La révolution d’une Mère Teresa ou d’un Saint François d’Assise. Une révolution qui demande une force énorme pour aller à contre-courant avec la mentalité du monde, mais une révolution qui marche parce que personne ne peut rien contre la tendresse d’un cœur aimant. Personne ne peut nous empêcher de pardonner du fond de notre cœur. Personne ne peut nous empêcher d’aimer nos ennemis, ni de donner notre vie à qui bon nous semble. Si nous prenions vraiment au sérieux la révolution de la tendresse, le monde changerait bien vite… et il n’est jamais trop tard.
La deuxième partie de la phrase a la même puissance divine d’amour. Un astre, ce n’est pas une petite chose. L’astre le plus proche de nous et que nous connaissons bien, c’est le soleil. Vous imaginez que le soleil décide un jour de venir nous visiter ? Mais il va tout brûler sur son passage, il va nous détruire irrémédiablement. Eh bien non ! Et c’est là qu’on voit combien les dimensions ou la réalité de Dieu sont encore tellement inaccessibles à notre pauvre esprit humain. C’est que l’amour de Dieu est un soleil qui est capable de se faire par amour si humble et si faible qu’il sera toujours à notre niveau. Un astre qui a su se faire si petit qu’il s’est laissé concevoir dans le ventre de Marie. Vraiment rien n’est impossible à Dieu et ce serait mieux de se laisser faire chaque jour un peu plus par la puissance de son amour, sans trop réfléchir aux conséquences, car Lui sait bien ce qu’il fait et il ne peut pas tout nous expliquer ici-bas !
Nous voici presque arrivés à la fin de notre merveilleux chapitre et la conclusion se résume en ces quelques mots : la « tendresse du cœur de notre Dieu » et Jésus est cet « astre venu nous visiter ». Quelle vision incroyable et tellement nouvelle au cœur de toutes les religions du monde ! Ce Dieu est bien sûr tout puissant, mais sa puissance se révèle par la tendresse infinie de son cœur. Et cela va bouleverser pour toujours bien des manières de concevoir comment se rapporter à Dieu d’un côté, mais aussi comment se rapporter entre nous les hommes.
Si nous voulons faire de notre vie un chef-d’œuvre à la suite du Christ, nous n’avons au fond qu’à faire une seule chose du matin au soir : laisser Dieu remplir notre cœur de sa tendresse et déverser cette tendresse sur tous les hommes. Cela semble tellement ingénu et utopique et c’est pourtant la plus grande révolution que le monde puisse goûter. La révolution d’une Mère Teresa ou d’un Saint François d’Assise. Une révolution qui demande une force énorme pour aller à contre-courant avec la mentalité du monde, mais une révolution qui marche parce que personne ne peut rien contre la tendresse d’un cœur aimant. Personne ne peut nous empêcher de pardonner du fond de notre cœur. Personne ne peut nous empêcher d’aimer nos ennemis, ni de donner notre vie à qui bon nous semble. Si nous prenions vraiment au sérieux la révolution de la tendresse, le monde changerait bien vite… et il n’est jamais trop tard.
La deuxième partie de la phrase a la même puissance divine d’amour. Un astre, ce n’est pas une petite chose. L’astre le plus proche de nous et que nous connaissons bien, c’est le soleil. Vous imaginez que le soleil décide un jour de venir nous visiter ? Mais il va tout brûler sur son passage, il va nous détruire irrémédiablement. Eh bien non ! Et c’est là qu’on voit combien les dimensions ou la réalité de Dieu sont encore tellement inaccessibles à notre pauvre esprit humain. C’est que l’amour de Dieu est un soleil qui est capable de se faire par amour si humble et si faible qu’il sera toujours à notre niveau. Un astre qui a su se faire si petit qu’il s’est laissé concevoir dans le ventre de Marie. Vraiment rien n’est impossible à Dieu et ce serait mieux de se laisser faire chaque jour un peu plus par la puissance de son amour, sans trop réfléchir aux conséquences, car Lui sait bien ce qu’il fait et il ne peut pas tout nous expliquer ici-bas !
Roland Poupon