Le Liban vu d’en haut
Comme c’est fascinant et difficile à la fois ce qui se passe en ce moment dans notre beau pays. Cela ouvre tellement de pistes nouvelles tout d’un coup, mais avec la crainte que dans quelques jours tout retournera comme avant, ou pire encore… et alors que faire ?
Je crois que nous devrions nous habituer à regarder le Liban d’en haut. Non, je ne suis pas dans les nuages ou dans la lune. Je ne vous invite pas à regarder le Liban vu d’avion : d’un avion ou d’un hélicoptère on a une belle vue, mais les hommes sont comme des fourmis et ce n’est pas comme ça qu’on va trouver de meilleures solutions.
Non, je vous propose d’essayer de voir le Liban avec le cœur et le regard de Dieu. Car nous sommes les disciples d’un Dieu qui voit tout d’en haut, de son paradis, mais qui est en même temps descendu sur la terre et qui voit tout de l’intérieur, du cœur de l’homme. Comment fait-il pour être à la fois si loin et si près ? C’est son secret et son miracle.
Si nous n’essayons pas de faire comme Lui, le résultat sera bien vite la peur ou la panique, le pessimisme ou le découragement et même le désespoir, et enfin la haine et la violence. Ce sont les maux qui nous guettent si nous continuons à regarder les choses de l’extérieur et non pas d’en haut et du dedans.
Et pour avoir ce regard de Dieu, il ne s’agit pas de faire de la philosophie artificielle, il s’agit de nous mettre à nous aimer encore plus entre nous et à aimer tous les Libanais sans exception, ceux qui sont « faciles » et ceux qui sont « difficiles ». Si l’amour et surtout l’amour réciproque entre pour de bon dans notre cœur, Jésus sera parmi nous comme il nous l’a promis et il nous donnera son regard.
Son regard n’est pas un regard vague ou utopique ou en dehors de la réalité. Non, Jésus est le premier à voir que le Liban est malade, il est le premier à appeler les choses par leur nom, à dénoncer les mensonges, la corruption ou l’hypocrisie. Mais Jésus ne panique jamais car il a la paix de Dieu en Lui. Il se penche sur la maladie du Liban avec calme et de tout son cœur, sans s’agiter, et c’est beaucoup plus facile comme ça de trouver des solutions.
Puis Jésus ne se décourage jamais. Il sait nous apprendre les leçons du passé et nous aide à construire l’avenir, mais pas pour faire des comparaisons inutiles avec ce passé ou cet avenir pour conclure que nous sommes dans une situation pire qu’avant ou que nous allons certainement à la catastrophe. Jésus prend les choses comme elles sont et il les redresse, car l’espoir l’empêche ici encore de s’agiter ou d’être paralysé.
Et enfin il regarde les évènements, les choses et les personnes avec amour et cela aussi aide tellement à trouver des solutions positives qui servent réellement au bien de tous. Si vous avez une idée meilleure, dites-le-moi. Je crois que le Liban a encore de beaux jours devant lui. Car le Liban c’est aussi chacun de nous. Et lorsque même un petit groupe de personnes qui s’aiment et qui sont unies en son nom, font quelque chose de positif pour le pays, le Liban continue à chaque instant à passer de la mort à la vie, car personne ne peut nous empêcher d’avoir la vie en nous et de continuer à la partager…
Je crois que nous devrions nous habituer à regarder le Liban d’en haut. Non, je ne suis pas dans les nuages ou dans la lune. Je ne vous invite pas à regarder le Liban vu d’avion : d’un avion ou d’un hélicoptère on a une belle vue, mais les hommes sont comme des fourmis et ce n’est pas comme ça qu’on va trouver de meilleures solutions.
Non, je vous propose d’essayer de voir le Liban avec le cœur et le regard de Dieu. Car nous sommes les disciples d’un Dieu qui voit tout d’en haut, de son paradis, mais qui est en même temps descendu sur la terre et qui voit tout de l’intérieur, du cœur de l’homme. Comment fait-il pour être à la fois si loin et si près ? C’est son secret et son miracle.
Si nous n’essayons pas de faire comme Lui, le résultat sera bien vite la peur ou la panique, le pessimisme ou le découragement et même le désespoir, et enfin la haine et la violence. Ce sont les maux qui nous guettent si nous continuons à regarder les choses de l’extérieur et non pas d’en haut et du dedans.
Et pour avoir ce regard de Dieu, il ne s’agit pas de faire de la philosophie artificielle, il s’agit de nous mettre à nous aimer encore plus entre nous et à aimer tous les Libanais sans exception, ceux qui sont « faciles » et ceux qui sont « difficiles ». Si l’amour et surtout l’amour réciproque entre pour de bon dans notre cœur, Jésus sera parmi nous comme il nous l’a promis et il nous donnera son regard.
Son regard n’est pas un regard vague ou utopique ou en dehors de la réalité. Non, Jésus est le premier à voir que le Liban est malade, il est le premier à appeler les choses par leur nom, à dénoncer les mensonges, la corruption ou l’hypocrisie. Mais Jésus ne panique jamais car il a la paix de Dieu en Lui. Il se penche sur la maladie du Liban avec calme et de tout son cœur, sans s’agiter, et c’est beaucoup plus facile comme ça de trouver des solutions.
Puis Jésus ne se décourage jamais. Il sait nous apprendre les leçons du passé et nous aide à construire l’avenir, mais pas pour faire des comparaisons inutiles avec ce passé ou cet avenir pour conclure que nous sommes dans une situation pire qu’avant ou que nous allons certainement à la catastrophe. Jésus prend les choses comme elles sont et il les redresse, car l’espoir l’empêche ici encore de s’agiter ou d’être paralysé.
Et enfin il regarde les évènements, les choses et les personnes avec amour et cela aussi aide tellement à trouver des solutions positives qui servent réellement au bien de tous. Si vous avez une idée meilleure, dites-le-moi. Je crois que le Liban a encore de beaux jours devant lui. Car le Liban c’est aussi chacun de nous. Et lorsque même un petit groupe de personnes qui s’aiment et qui sont unies en son nom, font quelque chose de positif pour le pays, le Liban continue à chaque instant à passer de la mort à la vie, car personne ne peut nous empêcher d’avoir la vie en nous et de continuer à la partager…
Roland Poupon